De l’annonce du sexe du fétus jusqu’après la mort de la personne, les hommes (et parfois les autres femmes) imposent leurs stéréotypes violents aux femmes. Nous allons mettre nos lunettes féministes pour regarder cet impact à travers chaque étape de la vie (attention, ça va être long).
Date de 2000, ça a un peu changé depuis
Dans la religion musulmane, la femme mariée n'a pas le droit de changer de nom
Réalisée en 2015 auprès d’un échantillon de plus de 27 000 femmes et hommes résidant en ménage ordinaire sur le territoire métropolitain, l’enquête Violences et rapports de genre (Virage) constitue un outil majeur de mesure et d’analyse des violences de genre. L’ouvrage en restitue les principaux résultats et constitue un socle rénové des connaissances à l’usage des acteurs sociaux comme de la communauté scientifique.
La violence est masculine. Tous les hommes ne sont pas violents mais la violence est masculine.
Les hommes sont aussi les premières victimes de ces violences, alcoolisme, bagarre, drogue, vitesse automobile, suicide leur taux de mortalité évitable est plus élevé de 3,3% que celui des femmes et si 213 000 femmes par an se disent victimes de violences conjugales, hors cadre familial, les hommes sont 2 fois plus victimes de violences physiques que les femmes.
via river
Marche aussi pour le privilège masculin
Le collectif rEGALons-nous ! a été créée en 2017 afin de promouvoir une éducation populaire féministe, par la création et l’animation d’ateliers, interventions scolaires, rencontres, formations, conférences originales et animations de rue autour des problématiques du sexisme.