Pareil mais rien à voir
Sandero GPL achetée en 2009 (une des premières). 135.000 km cette année
Et ça fait 4 ans qu'on en loue une autre (une vraie voiture !) pour les vacances et les grands trajets (> 1000 km), pour plusieurs raisons :

• fatiguante à conduire (bruit, vibrations > 120km/h)
• pas de puissance (on récupère de la puissance en coupant la clim et le gpl dans les montées du massif central, pour pas se faire doubler par les camions :-)
• pas de place, avec 2 enfants, qui ralent quand on s'arrete à Saint-Emilion parce qu'ils ont des cartons sous leurs pieds. La glacière prend la 3eme place à l'arrière. Le master Tetris est bien valorisé dans le coffre. Alors avec 3 enfants je sais pas comment tu fais ? Doctorat gzip ?

On a décidé de la garder, parce que largement amortie, l'entretien ne coute rien, pas de problème particulier en 12 ans, et vignette crit'air 1. Mais le garagiste (à l'ancienne) a mis la clé sous la porte l'année dernière... Amenée en urgence en mai chez Dacia, pour passer le contrôle technique : le cauchemar, il a fallu rentrer l'historique sur l'ordinateur, parce que c'est l'ordinateur qui dit ce qu'il faut faire.
Et l'ordinateur a dit : distribution tous les 60.000 ou 4 ans, donc il faut faire la distribution (faite à 80.000 en 2015). Moi : non. Dacia : il faut faire la distribution. Moi : non. Dacia : mais ça peut lacher à tout moment, vous mettez votre vie en jeu, et celles de vos enfants... Il s'est calmé, parce que si le client ne lui met pas une super note à l'évaluation, il est pas payé à la fin du mois...
Chez Dacia, ça marche en forfait : pour le réglage des soupapes, c'est dans le forfait 300 €

Du coup il a rien fait, du coup contre-visite (disques freins et soufflet de cardan), travaux faits par le garagiste de quartier pour 1/3 du prix, mais qui ne fait pas le gpl. Par contre il s'occupe de ses enfants : il ouvre à 8h45 après les avoir amené à l'école et faut récupérer la voiture avant 16h30. Moyen pratique juste quand je reprends en présentiel. Et on a quand même eu le temps de refaire le monde, avec une discussion très intéressante sur le salaire à vie, qui serait une bonne idée pour les petits artisans comme lui.

Et pour finir on ne peut plus faire le plein de GPL, ça me l'avait fait sur la précédente, genre le flotteur de niveau qui se retourne dans le réservoir : quand le réservoir est vide, le capteur dit qu'il est plein.
L'avantage, c'est qu'en attendant de trouver/chercher un garage GPL, elle roule tjs au super.

"Quel est le but du site ?
Si après avoir lu un article, tu sens que tu as appris quelque chose.. Alors j’ai tout gagné.
Si tu n’as rien appris mais que tu as eu le sourire, alors j’ai tout gagné.
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Tout ça pour regarder du base ball !

"au début du XIXe siècle, il était de bon ton de se promener dans les rues de Paris avec une tortue en laisse pour arborer son oisiveté avec fierté : « On faisait cela pour signaler l'abondance de temps dont on disposait, pour signaler le peu de choses que l'on faisait ou de loisirs que l'on avait, et c'était un signe de statut social ». Plus question de se tourner les pouces désormais : le statut, c'est l'hyperactivité ! Pour la chercheuse Silvia Bellezza, elle a même remplacé les loisirs comme une forme de « consommation ostentatoire ». « En étant occupée, une personne signale aux autres qu'elle est une ressource rare sur le marché. Le fait de ne pas avoir le temps de se reposer indique que vous êtes demandé et que votre capital intellectuel est très apprécié. Par conséquent, les autres vous considèrent comme ayant un statut supérieur. »"
et dans https://mailchi.mp/techtrash.fr/on-acclre-6zyl1et0c8
« Notre espèce existe depuis environ 300 000 ans et, pour autant que l’on puisse en juger, pendant environ 290 000 années, nous avons vécu des vies certes matériellement plus pauvres, mais beaucoup plus égalitaires en termes de pouvoir et d’accès aux biens. »

Des artisans de la réparation adhèrent à la marque Répar’acteurs, déployée dans certaines régions (cf. la carte ci-contre). Ces artisans Répar’acteurs, par leur compétence, leur savoir-faire et leur engagement, mettent à l’honneur la réparation de vos biens et équipements avant tout remplacement par un objet neuf !
La démarche Répar’Acteurs est déployée par les Chambres de métiers et de l’artisanat avec le soutien de l’ADEME.